Programme de contribution pour combattre les crimes graves et le crime organisé - Modalités et Conditions

Le Programme de contribution pour combattre les crimes graves et le crime organisé  (PCCCGCO) de Sécurité publique Canada (le Ministère) soutient des initiatives, des recherches, des partenariats, des services de police spécialisés, des projets et des programmes visant à accroître les connaissances, à sensibiliser et/ou à promouvoir les efforts de lutte contre ces types de crime.

Pouvoir

Le pouvoir du ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile (ci‑après appelé « le ministre ») de faire des paiements de transfert est conféré par l’alinéa 6(1) c) de la Loi sur le ministère de la Sécurité publique et de la Protection civile, S.C. 2005, ch. 10.

Le Programme de contribution pour combattre les crimes graves et le crime organisé (PCCCGCO) vise à permettre au ministère de la Sécurité publique et de la Protection civile du Canada (ci‑après appelé « le Ministère ») d’agir au nom du ministre pour appuyer des projets de nature à contribuer à l’atteinte des objectifs de lutte contre les crimes graves et le crime organisé, en accordant un financement au bénéficiaire admissible (ci‑après appelé « le bénéficiaire »), au sens de l’article 5 des présentes Modalités et conditions.

Le pouvoir stratégique du Ministère d’adopter ce programme de contribution découle de la Stratégie nationale pour la protection des enfants contre l’exploitation sexuelle sur Internet, de la Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme et des Mesures de lutte contre le crime organisé.

Description et objectifs du programme                                       

Les crimes graves et le crime organisé (p. ex. trafic de drogues, vol d’identité, crimes financiers, vol d’automobiles, contrebande de tabac, traite de personnes, exploitation sexuelle des enfants sur Internet) constituent des dangers sérieux pour la santé et la sécurité des Canadiens.

Le Programme de contribution pour combattre les crimes graves et le crime organisé  (PCCCGCO) du Ministère soutient des initiatives, des recherches, des partenariats, des services de police spécialisés, des projets et des programmes visant à accroître les connaissances, à sensibiliser et/ou à promouvoir les efforts de lutte contre ces types de crime, au moyen du financement de bénéficiaires admissibles au sens de l’article 5 des présentes Modalités et conditions.

L’objectif global du PCCCGCO est de contribuer à la réalisation des objectifs du Ministère en matière de législation, d’élaboration de politiques et de partenariats, en utilisant les moyens suivants :

Types d’initiatives admissibles

Aux termes du PCCCGCO, le Ministère fournit un soutien financier aux types d’initiatives suivantes :

Résultats attendus

On s’attend à ce que les initiatives et les projets finances dans le cadre du PCCCGCO contribuent à au moins un des résultats immédiats et à  moyen terme suivants :

Résultats immédiats

Volets A et C 

Volet B :

Résultats à moyen terme

Volets A et C

Volet B

Le résultat ultime de ce programme répond à l’objectif stratégique du Ministère :

– Un Canada sécuritaire et résilient, en renforçant les efforts de lutte contre les crimes graves et le crime organisé.

5.       Bénéficiaires admissibles     

Des contributions pourraient être versées aux catégories suivantes de bénéficiaires pour appuyer la réalisation des objectifs du PCCCGCO :

Volets A et C

Volet B

5,1            Répartition ultérieure des contributions

Les contributions peuvent être versées à un bénéficiaire initial admissible (par exemple les provinces, les territoires) qui, à son tour, peut distribuer les contributions à des bénéficiaires ultimes qui sont les mêmes bénéficiaires admissibles que ceux identifiés dans les volets A, B et C ci-dessus.

Les sociétés d’État, les organismes à but lucratif et les particuliers ne sont pas admissibles au  financement dans le cadre du PCCCGCO.

6. Exigences en matière de propositions  

Volets A et C

Les conditions suivantes doivent être réunies pour qu’une proposition soit prise en considération:

La documentation d’appui devrait comprendre :

En outre, afin de prévenir les conflits d’intérêts, le bénéficiaire doit :

Volet B

S’ils déposent une demande de financement de services de police spécialisés concernant la police des Premières Nations pour s’attaquer au crime organisé, les demandeurs doivent fournir au gouvernement du Canada des renseignements sur l’établissement et l’entretien du service de police. Ces renseignements peuvent inclure :

Lorsqu’ils déposent une demande de financement, les demandeurs sont également tenus de fournir au gouvernement du Canada un plan d’affaires contenant les renseignements suivants :

7. Critères de sélection et procédures d’examen  

Pour être prises en considération dans le cadre du PCCCGCO, les propositions doivent être déposées par une organisation admissible, et le projet et/ou l’initiative doivent viser une période précise de 60 mois au maximum. En outre, toutes les conditions énoncées à

l’article 6 doivent être respectées.

Les propositions admissibles seront examinées au regard des critères suivants :

7,1       Répartition ultérieure des contributions 

Lorsqu’un bénéficiaire initial (par exemple les provinces, les territoires) conclut un accord avec des bénéficiaires ultimes, le bénéficiaire initial utilisera le cadre suivant pour la responsabilité / gestion et le processus décisionnel

8. Activités admissibles

Volets A et C

Volet B

9.        Type et nature des dépenses admissibles   

Volets A et C

Les fonds doivent être utilisés uniquement pour les dépenses directement liées à l’activité identifiée dans le budget approuvé par le Ministère. Celui-ci peut, exceptionnellement, envisager le remboursement des dépenses admissibles engagées avant la signature de l’entente de contribution. Réaliser une telle exception comporte la perte potentielle de ressources essentielles au projet ou un risque d’entrave à sa mise en œuvre.

Le ministre ne paiera pas pour des dépenses admissibles engagées par un bénéficiaire avant la date d’approbation de la proposition ou de la demande conformément à la matrice de délégation de pouvoir de signer des documents financiers, et le remboursement des dépenses engagées avant la signature de l’entente ne doit pas chevaucher plusieurs exercices financiers. Le ministre ne remboursera pas les coûts assumés par le bénéficiaire advenant la non‑exécution de l’entente.

Dépenses admissibles spécifiquement pour les besoins de la réalisation du projet :

  1. Les transactions non monétaires ne sont pas remboursables (p. ex. amortissement).
  2. Salaires et rémunérations pour les services professionnels, de soutien, techniques et administratifs permanents ou temporaires, y compris les cotisations à la Commission de l’assurance-emploi, au Régime de pensions du Canada, à la Commission des accidents du travail, et au régime de retraite provincial ou à tout autre régime d’avantages sociaux.
  3. Les loyers (ou l’équivalent), les services ordinaires tels que l’électricité, le chauffage, l’eau et le téléphone, l’entretien des bureaux et des autres bâtiments, les frais d’assurance et les impôts, lorsque ces dépenses sont directement liées au projet et/ou à l’initiative.
  4. L’équipement de bureau, les petites dépenses d’immobilisations (les immobilisations secondaires peuvent atteindre 10 000 $ par achat), et les fournitures et matériaux nécessaires au programme (moins de 5 000 $ par achat). À la fin du projet ou lors de la résiliation de l’accord, et si le ministre en donne l’instruction, tout achat d’immobilisations (de plus de 1 000 $), et toute fourniture et matériau lié au programme (de plus de 1 000 $) sera vendu au prix du marché et le produit de la vente sera porté en déduction de la contribution du ministre ou sera aliéné de la manière déterminée par le ministre.
  5. Remarque : la location de pièces d’équipement destinées à être utilisées directement pour les besoins du projet est autorisée s’il est déterminé que la location de l’équipement est plus rentable que son achat.
  6. Les frais de voyage et de séjour liés à la prestation du projet, y compris les frais de location de moyens de transport, qui sont jugés raisonnables à la suite d’un examen détaillé du budget et dans les limites prescrites par les lignes directrices du Conseil national mixte.
  7. Les frais de formation directement liés à la prestation du projet et/ou de l’initiative, y compris le coût des manuels et/ou des procédures de formation.
  8. Les honoraires, définis comme une rémunération à court terme pour des services bénévoles ou la participation à un projet et/ou une initiative, compatibles avec les objectifs du projet et/ou de l’initiative et essentiels à l’atteinte de ceux-ci. Les honoraires doivent être compatibles avec les pratiques acceptées par l’organisation, la région ou la communauté concernée. Par exemple, les honoraires normaux versés par un groupe autochtone ou par une organisation à but non lucratif participant ou contribuant à une activité précise.
  9. Les frais professionnels et de consultation directement liés aux objectifs du projet, y compris, s’il y a lieu, les frais professionnels concernant la préparation des états financiers vérifiés.
  10. Les services informatiques, les frais de bibliothèque, les frais de recherche et les frais de collecte et d’analyse de statistiques, y compris les frais d’abonnement et d’accès aux données ayant trait aux objectifs du projet (c.-à-d. abonnements et publications électroniques, services relatifs à la collecte, à la diffusion, à la prestation et à l’analyse de données externes et à l’accès à ces données).
  11. Les activités de traduction et d’interprétation simultanée.
  12. Les frais d’expédition, de poste, d’impression et de distribution.
  13. Les frais de sensibilisation et d’éducation du public compatibles avec les objectifs du projet de recherche et/ou de l’initiative (p. ex., les annonces d’intérêt public).
  14. Les coûts associés à l’achat ou à la mise à niveau de matériel et de logiciels de technologie de l’information.
  15.  Autres dépenses admissibles :

Ces coûts peuvent être calculés à proportion et doivent être explicitement définis par le bénéficiaire, par écrit, dans la demande budgétaire. Ces dépenses ne doivent pas dépasser un total combiné de 15 % du total des frais de projet admissibles au financement de sécurité publique.

Frais d’administration et généraux : Frais qui ne peuvent pas être explicitement engagés pour les besoins de la prestation du projet mais qui permettent sa réalisation. Il pourrait ne pas être rentable de comptabiliser ces frais et ils seront donc rattachés projet selon une méthodologie raisonnable prédéfinie dès la conclusion de l’accord. La nature de ces frais doit échapper à toute autre catégorie susmentionnée. Ces frais peuvent comprendre (les fournitures de bureau, les salaires de gestion).

Volet B

Le remboursement des dépenses admissibles engagées avant la signature de l’entente pourrait être envisagé à titre exceptionnel pour garantir la continuité des services de police. Ces situations exceptionnelles sont, par exemple, des retards causés par la complexité de la finalisation des accords pertinents.

Les catégories de dépenses suivantes sont considérées comme admissibles :

  1. la rémunération et les avantages sociaux du personnel de maintien de l’ordre, des services professionnels, de soutien, techniques et administratifs permanents ou temporaires, y compris les cotisations à l’assurance-emploi, au Régime de pensions du Canada, aux régimes de retraite provinciaux ou autres, aux autres régimes d’avantages sociaux, et aux programmes d’indemnisation des accidents du travail.
  2. Les frais d’installation policière, y compris : le loyer (ou l’équivalent), les services tels que l’électricité, les égouts et l’eau, et le chauffage; les réparations mineures, les systèmes d’alarme; le matériel de nettoyage et d'entretien et les fournitures d’entretien du terrain; et les frais d’assurance et les impôts.
  3. L’équipement de police, y compris notamment, mais non exclusivement, les uniformes et accessoires connexes; l’équipement de recours à la force approuvé par la province (menottes, matraques, armes, etc.); les munitions; les appareils photographiques; les radios portatives; l’équipement de protection (gilets, casques, boucliers, etc.).
  4. Les frais de transport, y compris le coût d’achat de véhicules (voitures, VTT, motoneiges, ect.) les accessoires (gyrophares, sirènes); la réparation et l’entretien des véhicules; les frais d’obtention de permis; le carburant; et la vidéo intérieure aux véhicules.
  5. Les frais professionnels et de consultation directement liés aux objectifs du projet, y compris, s’il y a lieu, les frais professionnels concernant la préparation des états financiers vérifiés.
  6. Les dépenses liées à l’évaluation formelle d’un projet, tel qu’indiqué dans la proposition de projet.
  7. Les frais de technologie de l’information directement liés aux objectifs du projet.
  8. Les communications, la publicité, la documentation éducative et de relations externes directement liées aux objectifs du projet.
  9. Les frais de voyage et de séjour liés à la prestation du projet, qui sont jugés raisonnables à la suite d’un examen détaillé du budget et dans les limites prescrites par les lignes directrices du Conseil national mixte.
  10. Les frais de formation directement liés à la prestation du projet et/ou de l’initiative, y compris le coût des manuels et/ou des procédures de formation.

Autres dépenses admissibles : 
Ces frais pourraient être calculés au prorata et doivent être explicitement définis par le bénéficiaire, par écrit, dans la demande de budget. Ces frais ne doivent pas dépasser un total combiné de 15 % du total des frais de projet admissibles financés par sécurité publique :

Tous les volets

Coûts non admissibles :

10. Limitation du cumul

Volets A et C

Le montant maximum d’aide gouvernementale totale (aide fédérale/provinciale/ territoriale/ municipale cumulative pour les mêmes fins et dépenses admissibles) ne doit pas dépasser 95 % des dépenses admissibles.

Les contributions versées pour la mise en œuvre des projets liés à la conduite avec facultés affaiblies par la drogue et aux projets liés au soutient pour les unités locale d’exploitation des enfants sur Internet (EEI) auront le niveau maximal (limite de cumul) de l’aide totale du gouvernement (aide fédérale, provinciale, territoriale et municipale pour la même fin de dépenses admissibles) et ne doivent pas dépasser 100% des dépenses admissibles. L’exemption pour les projets de soutient aux unités d’EEI sera valide jusqu’au 31 mars, 2022.

Le PCCCGCO exigera de tous les bénéficiaires qu’ils divulguent toutes les sources de financement confirmées et potentielles pour une initiative et/ou un projet proposé avant le début et à la fin de l’initiative et/ou du projet.

Le PCCCGCO veillera à ce que l’aide au paiement de transfert fournie respecte ces limites de cumul et que la contribution fédérale soit basée sur l’aide gouvernementale totale reçue (aide fédérale, provinciale/territoriale et municipale cumulative reçue pour le même objet et les mêmes dépenses admissibles). Cela comprend les aides telles que les subventions, les contributions et toute autre aide y compris non monétaire/en espèces.

Le remboursement d’un montant excédant le total de la limite de l’aide gouvernementale sera calculé au prorata (en se fondant sur l’aide gouvernementale totale reçue et appliquée aux mêmes dépenses admissibles).   

Volet B

L’aide gouvernementale totale (aide fédérale, provinciale/territoriale et municipale et territoriale pour les mêmes dépenses admissibles) ne doit pas dépasser 100 % des frais de projet admissibles.

11.       Montant maximum

La durée maximum de l’accord pour ce volet est de 60 mois.

Le montant maximal des contributions est celui qui, selon le ministre, est nécessaire par le bénéficiaire afin de pouvoir procéder dans les échéances proposées, ainsi que la portée et l’emplacement proposés, et ne dépassera pas les 10 M$ par projet et par année, ou, à titre exceptionnel, le montant sera approuvé par le Budget fédéral canadien ou des décisions du Cabinet.

L’aide fournie sera au niveau minimum requis pour atteindre les objectifs et les résultats attendus du programme de paiement de transfert déclarés.

12.       Procédure de déclaration

Le Ministère exigera des bénéficiaires qu’ils remettent des exemplaires de tout document, rapport ou autre produit créés au cours de l’initiative et/ou du projet de recherche, et de fournir un rapport d’activité (y compris un état des flux de trésorerie) sur les réalisations de l’année antérieure, des états financiers vérifiés (s’il y a lieu), et les budgets des années courantes et/ou futures. Le bénéficiaire pourrait également être tenu de fournir des pièces justificatives supplémentaires (p. ex. des reçus, des bons de commande, des matières ou des produits).

Le bénéficiaire devrait mettre en place un plan de contrôle, de déclaration régulière, d’évaluation et de diffusion des résultats finals de l’initiative et/ou du projet de recherche ou de l’évaluation effectuée. Pour déterminer l’efficacité de la contribution eu égard aux objectifs du Ministère, le gestionnaire de projet examinera et notera l’ensemble des activités du demandeur au cours de l’année antérieure, et versera au dossier des exemplaires pertinents des rapports, des procès-verbaux de conférence et des études spéciales ou des projets entrepris.

13.       Base de paiement   

Pour toutes les ententes :

14.       Stratégie et indicateurs de mesures du rendement

Ce qui suit est une liste d’indicateurs qui permettront de mesurer et de surveiller l’avancement du Programme de contribution pour combattre les crimes graves et le crime organisé :

Volets A et C

Remarque : les indicateurs recueillis incluront le suivi de la tendance des activités de crime organisé, et la mesure dans laquelle l’information recueillie (augmentation ou diminution du taux de criminalité) devrait contribuer à informer l’élaboration des politiques et/ou textes de loi et les prises de décision de l’État.

Volet B

D’autres indicateurs pourraient être définis pour améliorer la mesure du rendement au fur et à mesure que les accords de contribution seront élaborés et finalisés dans le cadre du PCCCGCO.

15. Propriété intellectuelle

Si un projet et/ou une initiative produit de la propriété intellectuelle, le bénéficiaire conservera les droits d’auteur sur tout travail produit dans le cadre de l’accord de contribution. Cependant, dans les cas où le Ministère souhaite utiliser la propriété intellectuelle produite par le bénéficiaire, les clauses facultatives suivantes pourraient être incluses dans un accord de contribution (sur la base des conseils reçus des services juridiques) :

16.       Durée du programme

Les présentes modalités et conditions entreront en vigueur après avoir été approuvées par le Conseil du Trésor. Une évaluation de la pertinence et de l’efficacité du programme aura lieu au moins tous les cinq ans. Le Ministère sera informé des résultats de l’évaluation, ce qui pourrait entraîner des modifications ou des changements aux modalités et conditions du programme.

17.       Reconnaissance publique

Toutes les communications liées au programme seront entièrement conformes aux exigences du Programme de coordination de l’image de marque. Les bénéficiaires de contribution fédérale reconnaîtront le concours de l’État dans toutes leurs communications avec le public en mettant bien en vue le mot symbole « Canada » à côté des mentions des autres partenaires officiels.

18.       Langues officielles

La conception et la prestation par le bénéficiaire respectent les obligations du gouvernement du Canada définies dans la Partie VII de la Loi sur les langues officielles lorsque des programmes de paiement de transfert appuient des activités profitant aux membres de communautés des deux langues officielles. Les services et les avantages sont offerts dans les deux langues officielles conformément à la Loi sur les langues officielles.

Les accords de contribution signés avec les bénéficiaires incluront une disposition garantissant que les communications avec le public, et les services à celui-ci, seront effectuées dans les deux langues officielles, conformément aux politiques et directives du Conseil du Trésor sur les langues officielles. Pour promouvoir l’utilisation des deux langues officielles au Canada, les bénéficiaires devraient veiller à ce que les messages d’éducation et de sensibilisation du public soient véhiculés par des sites Web gouvernementaux et non gouvernementaux en langues française et anglaise ainsi que par les médias (écrits et visuels) en français et anglais.

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